Source : 齐鲁晚报 Qilu Wanbao (Shandong), le 1er mars 2014
Recrutement au rabais
De ces sept conditions, la seule qu’on puisse commenter actuellement, c’est la dernière, portant sur la rémunération d’Alain Perrin. On peut ainsi comprendre pourquoi l’Association chinoise de football a pu ignorer les Marcello Lippi [1], Aleksandar Stanojević[2], et autres entraîneurs dont les noms avaient circulé comme éventuels candidats. Il se dit qu’avant de considérer Alain Perrin, l’Association avait plutôt envisagé Stanojević, mais le niveau de salaire de ce dernier atteignait 1,7 million d’euros. C’est un peu loin du budget de l’Association chinoise de football.
Concernant le manque d’argent, le président de l’Association chinoise de football, Cai Zhenhua, a fait une déclaration plutôt elliptique : « Je me suis déjà exprimé sur le sujet. Il se peut qu’il y ait des personnes qui n’en soient toujours pas convaincues. » Cai Zhenhua espère que les médias vont attirer l’attention du public sur le football, qui pourra être ainsi suffisamment soutenu dans son développement. Ce n’est que de cette façon qu’il pourra vraiment décoller, a-t-il affirmé.
Cai Zhenhua a aussi assuré que les problèmes qui se poseront au nouvel entraîneur seront examinés de plusieurs points de vue. « Tout en nous concentrant sur le présent, nous allons aussi mettre l’accent sur le long terme, a-t-il poursuivi. L’amélioration du football chinois ne peut pas uniquement dépendre d’un instructeur étranger, mais elle doit aussi venir d’efforts en interne. »
蔡振华幽笑称中国足球也缺钱 斯塔诺因高薪无缘