Les collections que la marque de vêtements et de chaussures de sport Li Ning (李宁) a présentées durant les fashion weeks de New York et Paris ont beaucoup séduit … les Chinois. Et la licence Disney a permis à la marque de poursuivre le rajeunissement de sa cible.
La start-up chinoise de e-scooters Niu a des visées sur les marchés asiatiques, européens et américain. Elle attend des vents réglementaires favorables.
Les réglementations environnementales nationales exercent une pression croissante sur l’industrie chinoise des composites. De nombreuses entreprises ont disparu et les autres n’ont d’autre choix que de se tourner vers le développement durable via la mécanisation et l’innovation.
Le magazine en ligne Business of Fashion lance une compétition parmi une sélection de jeunes créateurs de mode chinois à fort potentiel. Du jamais vu dans un secteur de la mode qui a toujours entretenu une relation complexe avec la Chine.
À la fois élitiste et dans l’air du temps, ludique et éducatif, le compte WeChat de la marque de luxe Gucci a trouvé le bon ton pour s’adresser aux Chinois dans leur propre langue, selon une spécialiste du décodage culturel qui s’est exprimée à China Connect Paris.
‘Parlons marques chinoises’ (‘对话中国品牌’), une émisssion de la télévision publique chinoise CCTV, a invité le consultant en marketing du vin Guo Minghao. Il a présenté sa nouvelle marque de vin qui cible spécifiquement les femmes.
Une fois que les constructeurs chinois et internationaux de voitures électriques (EV) se seront affrontés sur un pied d’égalité, restera-t-il encore beaucoup d’intervenants ? Deux spécialistes de l’industrie automobile chinoise expriment des opinions différentes.
Les médias chinois s’emballent pour la marque de maquillage Marie Dalgar (玛丽黛佳). Pour le compte Wechat spécialisé dans le secteur de la beauté Jumeili (聚美丽), la fondatrice de la marque Masa Cui serait même la Coco Chanel chinoise.
Ouvrez les yeux, stoppez la naïveté. Pays de l’Union européenne, unissez-vous pour défendre vos intérêts face à la Chine. Voici en substance le message du livre que viennent de publier deux spécialistes des relations Europe-Asie.
Le designer industriel italien Luca Nichetto, membre du jury, souligne : « Le plus intéressant, c’est cette quête d’identité du designer chinois, ce refus d’être un copier-coller du design occidental, et de se fondre dans les héritages séculaires et les riches traditions de l’artisanat chinois. Jusqu’à présent, tout nous démontre qu’ils vont dans la bonne direction. Je suis très curieux de voir comment cela va évoluer. »